» Les jeunes n’écoutent pas ce que vous dites ni ce que vous faites. Ils écoutent ce que vous êtes. «
Est-ce qu’en nous voyant vivre, les jeunes se disent : «C’est super d’être adulte, j’attends cela impatiemment!»? Ne sont-ils pas nombreux à penser plutôt: «Ils sont malades de courir tout le temps comme cela!»?
Que vous ayez ou non des enfants, que vous leur consacriez toute votre vie ou une partie comme parent ou enseignant, qu’ils vous indiffèrent ou même vous agacent, vous avez été vous-même un enfant un jour et la question que pose ce livre pourrait, rien qu’à ce titre, vous intéresser. Le sens et l’envie sont les moteurs de notre joie de vivre et de notre façon d’être ensemble. Lorsque nous apprenons à joindre les deux, nous sommes habités d’une belle énergie, à la fois douce et puissante, qui peut soulever les montagnes.
Et cela nous permet de transformer les anciens systèmes de pensées – basés notamment sur les rapports de force, de méfiance et de division – et d’incarner aux yeux des jeunes les valeurs de collaboration, d’entraide, d’empathie, de confiance et de responsabilité que nous souhaitons leur transmettre afin de les inspirer à devenir à leur tour des adultes inspirants.
Mais comment concilier sens et envie? Avec humour et bienveillance, Thomas d’Ansembourg nous invite à entreprendre ce chantier, véritable enjeu de société en ce moment où nous avons tant besoin d’apprendre de nouvelles façons d’être ensemble. Son livre s’adresse à toute personne qui chérit la qualité des liens qui l’unissent au monde et cherche à vivre sa propre vie de façon profonde, féconde et fluide.
Voici aussi la présentation du livre sur le site de decitre.fr
» Les jeunes n’écoutent pas ce que vous dites ni ce que vous faites. Ils écoutent ce que vous êtes. » Ce constat se vérifie particulièrement dans une société où les repères sont en pleine mutation ; c’est pourquoi il revient aux adultes de trouver des réponses créatrices et inspirées aux questions suivantes : Comment transmettre des repères stimulants et motivants ? Comment témoigner par notre façon même de nous parler, de nous écouter et de chercher à nous comprendre mutuellement que le respect, la clarté et la bienveillance ne sont pas que des idées mais des valeurs à vivre au quotidien ? Comment établir des limites claires et éclairantes sans enfermer l’autre ni nous enfermer ? Comment montrer que la liberté n’est jamais totale, qu’elle ne peut se vivre que dans la contrainte acceptée, et qu’être libre ce n’est pas faire tout ce que nous voulons quand nous le voulons, mais faire ce que nous avons choisi de faire en acceptant les conséquences désagréables de nos choix ? Comment donner, par notre façon d’être et de vivre notre vie de parent ou d’enseignant, le goût à la beauté et à la joie au-delà des souffrances et des confusions de la vie ? Thomas d’Ansembourg jette ses lumières sur ces questions et bien d’autres ! qu’il accompagne d’exemples concrets pour nous encourager à avancer, jeunes et adultes, sur le chemin de la responsabilité, de la liberté et du bonheur généreux.
Pour la promotion de son livre, Thomas d’Ansembourg a proposé un live sur sa page Facebook le 2 octobre. Lien disponible ici
Déjà le 8 septembre, il suggérait dans une vidéo des pistes pratiques et un petit exercice d’introspection afin de bien cerner les enjeux de la quête de sens.
Il a aussi dévoilé quelques extraits de son livre dont celui-ci, au cœur du thème de son ouvrage :
« Pourquoi mettons-nous des enfants au monde si ce n’est pour
prendre part au festin d’amour qu’est la vie et s’enchanter d’être ensemble,
pour nous sentir vivants dans un monde vivant, et apprendre à nous aligner sur
notre fil rouge en savourant un profond contentement intérieur stable,
contagieux et en joyeuse expansion ? On ne met pas des enfants au monde pour
qu’ils aillent à l’école, débarrassent la table, étudient leurs leçons, se
brossent les dents, mettent leur pyjama, fassent du sport, terminent leurs
études et trouve un boulot ! Évidemment tout cela, toutes ces choses à faire, c’est
une logistique assez pertinente pour nourrir l’enchantement, mais n’inversons
pas les priorités : « Faire » n’est pas l’objectif de la vie. L’objectif est
l’enchantement d’«être ». Le « faire » est l’intendance de l’enchantement, la
logistique de l’être et de l’être-ensemble. »
Et depuis le 3 octobre, il a démarré la présentation d’une série de 5 capsules pour continuer à faire découvrir son livre.
La première : Un piège malheureusement récurrent : la culture du malheur
Retrouvez-le sur son site
ou sa page Facebook