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En lisant cette newsletter, vous pouvez écouter la chanson « les mots sont des fenêtres ou des murs » : https://www.youtube.com/watch?v=n567ieRlkvE de Marshall Rosenberg.
Chers ami(e)s (des) Girafes,
Chers tous et toutes,
Alors que le printemps vient comme chaque année nous réjouir et faire éclore la nature, nous avons choisi de mettre la non-violence en lumière, en hommage à Gandhi et Martin Luther King qui nous ont quittés il y a respectivement 70 et 50 ans, ainsi qu’à Marshall Rosenberg qui s’est investi pour la Nonviolence pendant la plus grande partie de sa vie. Le non à la violence gagne du terrain et est pour nous source d’espérance. Qu’elle le soit pour vous aussi !
Durant votre lecture, vous découvrirez aussi des actualités CNV, les projets de l’association, comment intégrer un groupe de pratique et ce qui est proposé comme formation continuée aux transmetteurs et personnes intéressées à approfondir la CNV. Vous trouverez également plusieurs pistes pour accéder à l’information qui vous est utile.
Vous souhaitant une connexion profonde à la Vie en vous, nous espérons vous (re)voir à l’occasion d’une de nos activités !
Régine et Jacqueline
Thomas d’Ansembourg (formateur certifié en CNV) est intervenu le 6 mars 2018, de même que Cindy Abbeloos (association stop VEO) et Laura Arnould, sur le thème de la violence éducative ordinaire (VEO) et les façons d’y pallier dans un dossier : « VEO et paix durable » au cours de l’émission radio «Tendances Première» sur la Première. Vous pouvez réécouter l’émission via Auvio ici :
https://www.rtbf.be/auvio/detail_tendances-premiere?id=2319063
Le 6e Sommet de la conscience a ouvert ses portes virtuelles depuis hier le 21 mars et jusqu’au 1er avril inclus. Sont prévues 39 vidéo-conférences inspirantes et gratuites (!) dont 2 proposées par des formatrices certifiées en CNV :
Pour vous inscrire : http://sommetdelaconscience.com/sommet-2018
Les 28 et 29 avril l’ACNV-BF participera au Salon Bien-Etre de Villers-la-Ville. Vous pouvez rejoindre notre équipe de bénévoles pour nous aider à tenir le stand en écrivant à :
Nous serions ravis aussi qu’un bénévole cameraman/”journaliste” nous rejoigne pour l’une ou l’autre vidéo /interview de nos activités dont ce salon.
L’Assemblée générale de l’association ouverte à tous les membres se tiendra dans le courant du mois de juin. La date sera communiquée bientôt.
Une rencontre pour référents francophones (les formateurs certifiés qui parrainent, soutiennent les candidats formateurs dans leur parcours) se tiendra en octobre à Lyon. L’organisation en est assurée par Christiane Goffard, formatrice certifiée belge.
Un vent favorable nous a soufflé qu’Anne van Stappen publiera fin mai un petit cahier en version poche aux Editions jouvence qui s’appellera: « J’exprime mon opinion avec fermeté et bienveillance ». Il traitera de la manière de dire sa vérité sans blesser, des différentes sortes de besoins et aussi des profondeurs de strates de besoins. Anne Vans Stappen espère ainsi apporter du soutien à ses lecteurs. Par ailleurs, son premier roman « Ne marche pas si tu peux danser » https://cnvbelgique.be/ne-marche-pas-si-tu-peux-danser/ sort avec un nouveau bandeau qui mentionne que le roman qui a conquis 40 000 lecteurs.
Au rayon du web, nous sommes heureux de constater que la vidéo du film de la conférence de Thomas d’Ansembourg donnée l’an passé à Louvain-la-Neuve « La Paix ça s’apprend » continue à être visionnée et a passé le seuil des 40.000 vues ! Vous pouvez encore la visionner : https://www.youtube.com/watch?v=7WI1joJ3SlY .
Notre page Facebook a, beaucoup plus modestement, passé le cap des 500 abonnés quand même. Si vous ne l’êtes pas encore, soutenez-nous en « likant » la page ou en vous abonnant : https://www.facebook.com/acnvbf/ .
Enfin, deux de nos formatrices certifiées, parmi les plus « branchées », Anne van Stappen et Sophie Grosjean ont leur chaîne YouTube : pour Anne, il s’agit de la chaîne : «Cœur naturellement vibrant : https://www.youtube.com/playlist?list=PLEvdoRaPqgWCWOBWcFdsD6i5VeKTrtPLA, et pour Sophie : sophie grosjean cnv : https://www.youtube.com/channel/UCxzxXYhU6EDbBU9t_xE0cKg/videos
Par des vidéos, Anne Van Stappen partage des thèmes qui lui sont chers au gré de ses élans, et Sophie partage notamment de créatives façons d’utiliser le jeu de cartes «Au cœur de la communication Nonviolente » : https://cnvbelgique.be/cartes-coeur-de-…tion-nonviolente
Il y a 70 ans disparaissait Mohandas Gandhi, figure célèbre pour son rôle déterminant dans la lutte pour l’indépendance de l’Inde. Vous pouvez retrouver 5 dates clé de la vie de ce dirigeant politique, guide spirituel et source d’inspiration : https://www.youtube.com/watch?v=fzC1nbBN_Wo
Son moyen d’action a été la non-violence, dont il disait :
– qu’ « elle ne consiste pas à renoncer à toute lutte réelle contre le mal, mais qu’elle est au contraire contre le mal une lutte plus active et plus réelle que la loi du talion », et
– que « sous a forme active, elle consiste en une bienveillance envers tout ce qui existe. C’est l’amour pur. »
Le film indo-britannique aux nombreux oscars Ghandi de Richard Attenborough sorti en 1982 http://www.hds.to/films/gandhi-1982-streaming.php (3 h. 11 de visionnement) retrace différents éléments célèbres de la vie de Mohandas Karamchand Gandhi et de la lutte pour l’indépendance indienne.
Le 4 avril 1968 – il y a 50 ans- les Américains apprenaient avec stupéfaction que Martin Luther King venait d’être assassiné. En à peine quelques années, Martin Luther King était devenu le leader du combat des Noirs américains pour les droits civiques. Son discours “I have e dream” https://www.youtube.com/watch?v=8ryy7eP0kks prononcé le 28 août 1963 a été percutant. Il choisit de recourir à la désobéissance civile et à la non-violence pour faire progresser la condition des Noirs américains. Son principe de non-violence est fondé sur sa conviction que l’univers est du côté de la justice.
Le film américano-britannique Selma réalisé par Ava DuVernay, sorti en salle en 2014 est, lui, directement inspiré des événements ayant eu lieu dans la ville de Selma en 1965, concernant le mouvement des droits civiques américains et présente le rôle qu’y a joué Martin Luther King.
C’est durant ces mêmes années ’60, dans ce contexte de conflits raciaux et socioéconomiques que le psychologue Marshall B. Rosenberg a commencé à élaborer une méthode basée sur la conviction que notre nature profonde est de vouloir contribuer au bien-être d’autrui. Il se donne le but d’aider les êtres humains à adopter un comportement de bienveillance (« un échange avec autrui motivé par un élan du cœur réciproque ») auquel il aspire. Il l’appellera « Communication NonViolente » : https://www.youtube.com/watch?v=uzCm6K_tSyc
A l’époque il intervient auprès de diverses communautés américaines qui travaillaient à rétablir l’harmonie dans des écoles et diverses institutions publiques. Aujourd’hui, nombreux oeuvrent de par le monde à la diffusion de ce processus respectueux des besoins de tous. Marshall B. Rosenberg s’inspirera notamment des pensées de Gandhi et Martin Luther King.
Steven Pinker, professeur de psychologie cognitive à Harvard est classé parmi les « nouveaux optimistes ». Auteur d’un essai sur l’évolution de la violence (« La part d’Ange en nous », Les Arènes, 2017), il constate que la résistance civique, ça marche. Il fait référence à une étude menée par 2 chercheuses américaines en sciences politiques Erica Chenoweth et Maria Stephan qui ont passé en revue des centaines de mouvements de protestation violents et non violents à travers le monde afin de les comparer en termes de résultat. Et leur conclusion ne laisse aucun doute : la résistance non violente débouche sur deux fois plus de réussites ! On peut donc dire que Gandhi, Martin Luther King et Marshall Rosenberg ont raison en termes de stratégies. Si les mouvements non violents connaissent plus de succès à l’issue de la lutte, c’est aussi parce qu’ils évitent les accès de représailles. Ils ont donc plus puissants, non seulement du point de vue de la morale, mais aussi par leur efficacité supérieure.
Steven Pinker brosse par ailleurs un tableau encourageant de notre époque, qui est selon lui le fruit de plusieurs siècles de révolution humaniste. « L’espèce humaine a un passé violent », mais notre monde n’a jamais été aussi peu violent qu’aujourd’hui. Parmi d’autres facteurs, qui participent à cette évolution, il souligne la généralisation de la lecture (théâtre, romans, essais historiques ou journaux) qui a induit une plus grande faculté à se projeter dans la tête de l’autre. Le développement de l’empathie, explique Steven Pinker, « diminue le goût de la cruauté ».
À l’évidence, il est encore trop tôt pour que la violence ait disparu de l’espèce humaine. Mais, explique le psychologue, le contrôle de soi, l’empathie, le sens moral ou encore la raison, c’est-à-dire les « meilleurs anges de notre nature » qui ont donné son titre à son ouvrage, jouent en faveur d’une évolution vers le non à la violence.
Franchir le fossé entre nos anciens réflexes de violence et l’empathie est le résultat d’un travail. Mais si le résultat en est une qualité et une efficacité accrues dans les relations interpersonnelles, et une participation à l’évolution de l’humanité, n’en vaut-il pas la peine ?
Texte écrit par Jean-François Lecocq, formateur certifié en Communication NonViolente
Quelques fois, au cours de ses formations,
Marshall Rosenberg a été amené à clarifier la notion de nonviolence,
bien au-delà de la question de la communication.
Nous savons déjà combien divers événements significatifs, vécus dans son enfance,
ont déterminé ses recherches sur les causes de la violence et sur un modèle de communication au service de la vie.
Peu connaissent son engagement d’adulte dans la nonviolence.
Au sortir de sa formation en psychologie clinique en 1961, les Etats-Unis intervenaient déjà depuis 6 ans de façon croissante au Vietnam. Marshall n’allait pas pouvoir éviter de se confronter à la réalité de la guerre.
D’une part, il se livre alors, comme il le dit, à « tout un tas d’études sur les criminels nazis[1] » et leur façon de penser et prend conscience à quel point il est lui-même « envahi », dit-il, par cette façon de penser. Il se dit alors : « Si je ne fais rien d’autres pour aider le monde, au moins ça, je veux l’enlever de ma propre conscience. Je veux être tout à fait conscient de la raison pour laquelle je fais ce que je fais ».
D’autre part, il participe à différents mouvements nonviolents comme celui de la lutte pour l’égalité hommes-femmes ou pour les droits civiques des noirs aux Etats-Unis. Le 2 mars 1965, dans un de ses discours, Martin Luther King prend position contre la guerre du Vietnam. Le 9 du même mois, le président Lyndon B. Johnson autorise l’usage du napalm.
Marshall raconte : « Je payais des impôts à l’époque. J’avais horreur de ça, je voyais que mon argent servait entre autres à envoyer du napalm au Vietnam. Mais comme un bon petit nazi, je me disais : « JE DOIS le faire ». Alors je me suis arrêté, je me suis dit : « Attend un peu là, attend un instant, pourquoi est-ce que je fais ça ? ». Ca n’a pas été tellement facile de changer cela en termes de : « JE CHOISIS de le faire ». Cela ne me plaisait pas trop de me dire que je choisissais d’envoyer du napalm sur les vietnamiens. Donc, j’avais beaucoup de résistance à répondre à cette question.
Et puis, tout à coup, j’ai eu la clarté : je faisais ça parce que je voulais éviter d’être envoyé en prison. Ca aide de devenir conscient, parce que du coup, j’ai arrêté de payer mes impôts ! ». Nous voyons ici, que sa conception de la nonviolence se traduit d’abord par un NON radical à collaborer à la VIOLENCE.
Poursuivant ensuite sa réflexion au-delà de ce premier refus, il se focalise sur la recherche d’une ALTERNATIVE NONVIOLENTE plus constructive à la situation. Il se pose alors la question : « Comment est-ce que je pourrais agir de manière qui soit plus en accord avec mes valeurs ET éviter en même temps d’aller en prison ? ». Car, comme il le reconnaît très honnêtement, aussi longtemps qu’il se disait qu’il DEVAIT payer ses impôts, il ne recherchait même pas une alternative. Sa conclusion ? La voici : « J’ai découvert une autre façon d’éviter d’aller en prison, en dehors du fait que je pouvais éviter d’y aller en payant mes impôts, mais je n’aurais pas découvert cette autre façon de m’y prendre si je n’avais pas changé ma façon de penser ». Il fonde alors – nous sommes en 1966[2] – le Centre pour la Communication Nonviolente en tant qu’organisation sans but lucratif. Ses formations sont facturées par le Centre qui va organiser ses activités et lui payer tous ses frais. Serait-ce pour cette raison qu’il n’a plus été imposable ? En tous cas cette organisation va constituer pour lui un soutien remarquable pour le développement des formations à la Communication Nonviolente dans le monde. Nous mesurons aujourd’hui l’ampleur des conséquences positives des choix de nonviolence qu’il a faits durant cette guerre.
Nous aussi, soyons conscient de notre responsabilité dans les choix que nous faisons car, comme nous le disait Marshall : « A chaque instant, nous avons le choix de détruire ou de servir la vie ».
Jean-François Lecocq
www.CommunicationNonviolente.info
Là où la conscience progresse, la violence régresse
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1 Les citations de Marshall Rosenberg proviennent des enregistrements de la première Rencontre Intensive Internationale Francophone de CNV organisée par l’Université de Paix au Centre de La Marlagne à Wépion-Namur du 5 au 15 août 1996.
2 Cfr. : – Pierre-Bernard Velge, Flic ou voyou ?, éd. Labor 1999, p.129.
– Francoise Keller, Pratiquer la Communication NonViolente, InterEditions 2011, p.215.
« Pratiquez, pratiquez, pratiquez ! » disait Marshall Rosenberg.
Des groupes de pratique, il y en a dans chaque région. Sur le site www.cnvbnelgique.be à l’adresse : www.cnvbelgique.be/groupes-de-pratique vous trouverez la liste actualisée des groupes de pratique existants à notre connaissance.
Pour mettre de la clarté sur comment/par qui sont animés les groupes, l’association CNV française propose diverses « catégories » de groupes de pratique :
Les animateurs belges récemment interrogés ne se retrouvent pas tous dans cette classification.
Pas mal de groupes commencent en « auto-géré » de l’envie de divers participants à un stage – une formation de poursuivre leur apprentissage en ayant le soutien d’un groupe. Ces groupes fonctionnent alors en « circuit fermé » et ne sont pas nécessairement répertoriés sur notre site.
Et puis les groupes, comme la vie de chacun, évoluent. Dans les groupes de longue durée, parfois plus de 10 ans, certains quittent et pour maintenir un nombre significatif de membres pour la dynamique de groupe, de nouveaux l’intègrent et de groupe « fermé », le groupe se transforme en un groupe +/- ouvert. La personne en charge d’organiser les réunions (chez elle ou en tournante auprès des divers participants) de simple participante se mue en « animatrice », prend ce rôle à cœur, et comme « transmettrice » propose ou développe les thèmes à aborder. Les animateurs dans ce cas ne se font pas nécessairement « superviser » ni ne sont dans le parcours de « certification ».
La participation financière demandée est une contribution aux frais (locaux – photocopies – collations – …) et pour certains une contrepartie du temps d’investissement dans la préparation, l’organisation, les prises de contact en dehors des séances, d’un partie minime des coûts de formation continuée ou de supervision.
Parfois le groupe est créé à l’initiative d’une institution qui demande à un transmetteur d’intervenir.
Chaque groupe a sa spécificité : fréquence des réunions, leur durée, leur horaire (en journée ou en soirée), le jour de la semaine, les prérequis (une lecture, une introduction ou plus), le nombre minimum/maximum de participants, les modalités d’entrée/sortie du groupe, la façon dont se déroule une séance, les thèmes abordés, les conditions financières.
Puisqu’actuellement ces informations ne sont pas précisées sur le site, le plus simple pour vous est de contacter des animateurs pour voir avec eux toutes ces modalités et vous faire votre propre opinion sur l’animateur ou le groupe qui vous correspondra.
Si vous cherchez un groupe et n’en trouvez pas, signalez-le nous au secrétariat secretariat@cnvbelgique.be. L’asbl pourrait ainsi contribuer à rassembler des personnes désireuses de pratiquer et les aider à trouver un groupe ou à en constituer un.
L’association a aussi bien entendu à cœur une transmission de la CNV dans la fidélité à l’enseignement de Marshall Rosenberg et encourage la formation continuée des transmetteurs (cf. ci-dessous).
Tout ceci concerne des groupes qui se réunissent physiquement à intervalles réguliers dans un endroit donné. Et pourquoi pas innover ? Au Canada, existe déjà au moins un groupe de pratique « en ligne ». Quelles sont vos idées ? Nous pourrions contribuer à les réaliser. Avec les développements de Whatsapp et autres skype on pourrait imaginer une vision plus « mobile » de nos groupes de pratique même si dans les relations humaines, rien ne vaut au moins de temps en temps une présence en chair et en os.
Nous appelons « transmetteurs » les personnes sensibilisées à la Communication NonViolente, désirant transmettre le message de Marshall Rosenberg d’une façon intègre et fidèle et soucieuses de pratiquer les processus et de vivre elles-mêmes suivant les valeurs de la CNV.
Souvent ces personnes ont déjà accumulé un grand nombre d’heures de formations et recherchent des apprentissages spécifiques.
Des journées d’approfondissement ont été organisées pour eux par l’ACNV-BF ces dernières années grâce à la collaboration de divers formateurs certifiés :
Une nouvelle journée pour transmetteurs est en gestation et nous vous en dirons plus prochainement.
Anne-Cécile Annet et Guy De Beusscher soucieux du suivi et de la formation continuée des transmetteurs, proposeront pour eux cet été du 4 au 7 juillet 2018 à Mellet – Belgique le thème : « Jeux de rôles et intégration de la CNV par le corps – Stage en Communication NonViolente ». Voir sur notre site : https://cnvbelgique.be/formation/formation-transmetteurs-lintegration-de-cnv-corps-jeux-de-roles/ – Pour plus d’informations et les inscriptions, contactez : Clothilde DUMONT : clothildedumont@gmail.com ou + 212 676.266 508
Le processus de certification francophone prévoit un panel de formations visibles sur cnv-certification.com. Là, il est question de s’engager dans le processus de certification pour devenir formateur certifié ou d’avoir l’opportunité de participer à un stage spécifique sur base des places disponibles et d’une présentation de motivation.
L’ACNV-BF a à coeur de soutenir les acteurs qui diffusent la CNV en Belgique et pas seulement les formateurs certifiés.
Le moment de rencontre pour transmetteurs annoncé dans notre Newsletter de décembre dernier n’a pas encore eu lieu.
Bienvenue à vos suggestions pour faciliter les contacts entre transmetteurs et/ou dynamiser Girafeco (Groupe de Transmetteurs en CNV) : forme de réunion, horaires, lieux, structure de réunion (physique ou informatique), l’intention étant de favoriser les liens, le soutien mutuel, la formation continuée, encourager les échanges et les émulations pour l’élaboration de projets de diffusion de la CNV ! Contactez-nous via le secrétariat secretariat@cnvbelgique.be
Avec gratitude pour la part de chacun dans la construction d’un monde « ré enchanté ».
A la rédaction pour l’ACNV-BF asbl,
Jacqueline et Régine