Vivre la CNV par le corps

Durant ces 3 jours, nous ferons largement appel à la sagesse et l’intelligence de notre corps pour nous guider: tous les canaux sensoriels nous aideront pour sentir, ressentir, nous souvenir, intégrer et goûter à la bienveillance: cette relation plus sereine que Marshall Rosenberg nous invite à tisser avec nous-mêmes, tout d’abord, pour qu’elle rayonne vers les autres, ensuite.

Nous affuterons notre ouïe, nous aiguiserons notre regard, nous affinerons notre capacité à suivre les changements énergétiques chez nous et chez l’autre ; nous prendrons conscience de notre posture et ajusterons notre attitude non verbale afin qu’elle soit au maximum au service de notre intention.

Et respirer.

Sentir profondément la connexion à nos besoins, non à partir d’une idée et de ce que notre tête nous dit, mais à partir du corps qui vit.

Repérer nos indices corporels de tensions, reflets probables de nos jugements ou interprétations ; les reconnaître, les accueillir, les accompagner pour qu’ils nous révèlent leur beauté cachée.

Respirer.

Nous connecter à un espace intérieur « sécure » où les vagues de surface ne réussissent pas à entamer la sérénité.

Respirer encore…